Sidney déconfiné ?

[Banana split]

"Allo Felix Leiter, un ami à vous m'a demandé de vous contacter pour le rapatriement du bateau d'Antoine .
- No problem, we drop Antoine in Sydney for the modest sum of one million dollars
- What ????
- Another free solution is to grant him a 007 license. But he will have to wear a two-piece suit and cut his hair
- Cut his hair ???? Euh, ce sera tout pour l'instant M Leiter"

[jplonk]

Pourquoi ces canons ?

[Banana split]

"M Corleone, pour le rapatriement du bateau d'Antoine coincé en Australie, pourriez vous nous aider ?
- Parmigiano, dis à cet imbécile de me baiser la main et de m'appeler Parrain
- Aie, ouille oui Parrain
- Concernant ta demande, depuis que la nouille chinoise menace nos spaghettis, nous sommes en mauvais termes avec nos collègues orientaux. A toi de convaincre les Triades.
- Les Triades sur le port de Sidney ouh la la c'est pas possible, au revoir M Corleone
- Aie, ouille au revoir Parrain"

[Dan]

" -Mr Macron, pour le rapatriement du bateau d'Antoine coincé en Australie, pouvez-vous nous aider?
- Eventuellement pour cette affaire je peux mettre sur le coup l'équipe qui s'est occupée en son temps du Rainbow Warrior
- Merci ça ira monsieur le président"

[jplonk]

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[fanantoine]

Vous êtes bon.

[Banana split]

Sortir Banana split de Sidney en douce, c'est une chose, mais échapper à la marine australienne c'en est une autre, d'où la proposition d' un constructeur aéronautique :

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Avec l'aide du Sar Rabindrana duval, Banana split s'envolera loin de l'Australie !

[jplonk]

[Banana split]

>>Info

"Face aux difficultés pour obtenir des droits de pêche, notamment de la part des autorités de l'île anglo-normande de Jersey, Mme Girardin a annoncé jeudi la préparation de "plans de sortie de flotte" pour indemniser les pêcheurs dont les navires resteront in fine à quai."

Les bateaux qui restent à quai ... anglais ou Australiens : mais c'est Fachoda !

[jplonk]

Et maintenant, un peu d'histoire-géo :






au Nord les populations du sain Caire,
au Sud les populations laborieuses du Cap,
et entre les deux Facocha à la croisée des chemins des Français et des British !