50 ans après les faits, Antoine se retrouve en position d'accusé dans la Dépêche du Midi :
«En 1968 les coiffeurs pour hommes se sont fait du souci, et certains durent même fermer. La cause ? Le chanteur Antoine et la mode des cheveux longs !»
Éliette, son accusatrice, raconte que les ados ne voulaient plus aller chez le coiffeur afin de sacrifier à la mode des cheveux longs.
un petit coup de fil à Éliette pour lui demander pardon ne serait pas du luxe, et ainsi Éliette pourrait peut-être pardonner, comme l'avait fait Yvette...
Éliette, Yvette, Francette c'est la fête à la crevette !
Dans le village de ma mère se tenait dans les années 60 - et s' y tient toujours mais je n' y suis plus et la maison n'existe plus - une fête de village, tous les étés. Qui n' a pas connu ceci a manqué quelque chose. Ce n'est pas pour rien que César préférait être le premier de son village plutôt que le second à Rome. Sur un côté de l'église se tenait une petite place cimentée qui à l'occasion servait de piste de dance. On la clôturait de bambous et ça nous faisait un dancing.
Bien des chansons passaient, mais le Oh Happy day de Edwin Hawkins m'a marqué tout comme le Nights in white satin des Moody Blues. Bien avant le fameux My sweet Lord de Georges Harrison (et consorts) Edwin Hawkins avait popularisé un gospel extraordinaire. C'était vers 1967 bien avant que les Happy days de mon enfance disparaissent.