Note de ce sujet :
  • Moyenne : 5 (1 vote(s))
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
Rock'n Roll story
#51
Citation :Spectacle animé par Jimmy Guieu.
Le spécialiste des soucoupes volantes ?

ah ah ah

Les soucoupes volantes ça aurait fait un sacré nom de groupe de rock

Bien vu Ban ! Smile

[Image: secoupe019.gif][Image: secoupe019.gif][Image: secoupe019.gif]

[Image: 51QABPrYF2L.jpg]



Le Rockabilly aux racines du Rock'n Roll
Répondre
#52
[Image: 52342836837_757e7da8b2_o.jpg]

Toute ma vie, Sa Majesté la reine Elizabeth II a toujours été là. Dans mon enfance, je me souviens avoir regardé les moments forts de son mariage à la télévision. Je me souviens d'elle comme d'une belle jeune femme, de la grand-mère bien-aimée de la nation. Mes plus sincères condoléances vont à la famille royale.
Répondre
#53
Triste nouvelle
Répondre
#54




https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/jerry-lee-lewis-legende-du-rock-n-roll-connu-pour-le-titre-great-balls-of-fire-est-mort-a-87-ans_5445448.html
Répondre
#55
Ce mec était le Mozart du Rock'n Roll !






Répondre
#56
Mon Dilgeding, la chanson que j'ai chanté et fait chanter le refrain à la salle du Café De La gare avec Clémentine Célarié. Un grand moment
Répondre
#57
Mon dingeling c'est la traduction par Antoine de My Ding-a-Ling de Chuck Berry, autre père fondateur du Rock'n Roll.


Répondre
#58


Répondre
#59
Ah beaux-arts, quel mythe ! et non pas... Big Grin


Répondre
#60
[Image: Michka-dedicace-VGT-600x450.jpg?itok=SS852gBd]

Hier soir sur France Inter par le fabuleux Michka Assayas, ancien élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud :

Ce soir Very Good Trip s’attaque à un monument, un des derniers monuments de l’histoire qui nous occupe, j’allais dire de notre préhistoire. Et dont on peut dire, comme le roi Henri III devant le cadavre du duc de Guise, qu’il venait de faire assassiner : il est plus grand encore mort que vivant.

En moins de deux minutes, tout est dit. Tout est insinué, comme craché entre les dents par un ado capricieux et insolent, qui joue sur les nerfs de ceux et celles qui l’écoutent. Et il y a ces notes glissées au piano à une vitesse diabolique, qu’Elton John lui-même se dira incapable de reproduire. Oui, en une minute cinquante et une, à la fin de l’année 1957, quelques mois à peine avant qu’Elvis ne doive partir faire son service militaire, Jerry Lee Lewis triomphe aux États-Unis et très vite dans le reste du monde grâce à cette chanson, « Great Balls of Fire », qui restera son plus grand succès, jamais renouvelé, au long d’une carrière particulièrement chaotique, ce n’est rien de le dire.

On a appris à la fin du mois dernier la mort de Jerry Lee Lewis, à l’âge de quatre-vingt-sept ans, un âge qu’on est même étonné de l’avoir vu atteindre.

[Image: 560x315_jerry-lee-lewisgettyimages-74281301.webp]

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/very-good-trip/very-good-trip-du-mercredi-09-novembre-2022-5217103

[Image: mozart_10.jpg] tu veux ma photo ?
Répondre


Atteindre :


Utilisateur(s) parcourant ce sujet : 12 visiteur(s)